Yves Brayer, né le 18 novembre 1907 à Versailles, est décédé en 1920 à Paris. C’était un grand peintre passionné de graphisme, raison qui l’a entrainé à utiliser des techniques de peinture comme la lithographie et la gravure. Et il a su se faire une place dans le monde des arts.
Le parcours suivi par Yves BRAYER
L’artiste Yves BRAYER a passé son enfance à Bourges. Sa mère impressionnée par son talent, l’inscrit à l’Ecole des arts de Bourges. Arrivé à Paris en 1924, il fréquente les académies de Montparnasse et de la Grande Chaumière puis l’Ecole des Beaux-arts de Paris où il obtient son diplôme. Il a été encouragé et initié par de grands artistes tels Jean-Louis Forain et le sculpteur Robert Wlérick. Il a commencé très tôt à exposer ses œuvres quand il n’était qu’un étudiant, au Salon d’automne et au Salon des indépendants. Il a voyagé en Espagne en 1927, grâce à une bourse de voyage de l’Etat et cela lui a permis de rencontrer des maitres de musées à Madrid qui influencera ses œuvres futures. Ses voyages ne s’arrêtent pas là, il continue dans d’autres pays comme Maroc et l’Italie, et est retourné à la fin en France pour continuer le voyage et partager ses œuvres au public.
Yves BRAYER peintre, lithographe et graveur
Yves BRAYER est un peintre très célèbre tant en France que dans d’autres pays du monde. Il a pratiqué la technique de la gravure sur cuivre et de la lithographie grâce à son goût pour le graphisme. Il a ainsi réalisé de nombreuses estampes. Parmi ses lithographies, il y a eu Bravade à Saint Tropez, Camargue-Cavalier au caylar, Baie de Naples, etc … tirés en plusieurs exemplaires. Quant à ses gravures citons la Camargue-cheval à la cabane, Camargue-cheval et poulains, etc …
Ce qui caractérisait l’artiste Yves BRAYER
Yves BRAYER fait partie des artistes de l’entre-deux guerre, très attaché par la représentation de la réalité qui les entoure et rejetant les mouvements picturaux de la fin du 19ème et du début du XXe siècle. Il a été très influencé par les paysages espagnols et italiens dans ses peintures, mais la Provence et la Camargue restent ses lieux de prédilections jusqu’à la fin de sa vie.